mardi 16 novembre 2010

PRETRE ONLINE

Cet article a pour but, dans ses commentaires, de recueillir vos confessions de manière totalement anonyme, qui de ce fait, protège votre identité. Ce système reprend les confessions dans le milieu religieux, mais est accessible à tous. Ces aveux ne vous conduiront pas au paradis, néanmoins, pourront vous soulager. Ce projet est donc participatif et ne peut exister que grâce à vous. La seule contrainte est de ne citer aucun nom, afin que votre aveu ne nuise à personne. 

90 commentaires:

  1. Je me mens à moi même. "Je me voile la face" comme on le dit si communément. Le pire c'est que j'en suis conscient et pourtant je ne fais rien pour changer les choses.
    En fait, je crois que je voudrais qu'un élément extérieur viennent perturber le cours des choses et m'obligent à faire des choix.

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  2. Je me confesse pour avoir voler un vers d'Oasis à ma colocataire aujourd'hui, je n'est plus d'argent, je n'est plus de soda, et je n'est plus de pattes non plus. C'est aussi pour cela que je me confesse pour l'acte blasphèmatoire que je vais commaître demain: voler des pattes à ma colocataire.

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  3. Mon sourire est un mensonge.

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  4. Je regarde ces gens, réussir, profiter, faire des choix et les assumer. Ils sont maîtres de leur vie.
    Et je me demande quand est-ce que, moi aussi, je deviendrai "quelqu'un", pour moi, et pour quelqu'un d'autre.

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  5. Je n'ai jamais osé dire à une camarade qu'elle sentait très fort de la bouche.

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  6. Ô Dieu que je l'aime !
    Si vous saviez...
    Malheureusement, je ne peux lui montrer à quel point.

    Jour et nuit, je ne pense qu' à ses yeux, sa bouche, son corp que je ne peux serrer contre le miens.
    Je souffre, si profondément.
    Je ne peux m'en empêcher, à chaque minute qui passe.
    Son image hante mes pensées et je ne peux lui avouer.

    Ô Être Suprême, dites-moi, Ô oui dites-moi, est-ce un crime d'aimer en secret, une personne qui en aime une autre ?

    Expliquez-moi pourquoi je me meurs tous les jours de ne pas lui faire l'Amour.

    Devrais-je moi-même me damner, pour ce corps aimé ?

    Eclairez-moi !

    Vous supliant, l'Anonymat.

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  7. Je crois que je vous ment.

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  8. La créa ca me gonfle ! 
    je confesse que je ne suis pas un artiste ! 

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  9. Aujourd'hui, un ami m'a dit, "je fais confiance à la vie"

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  10. Je crois que parler ici me soulage. Ça n'améliore en rien ma situation, mais, ça me soulage, oui.

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  11. A force d'être trop actif, je suis devenu passif.

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  12. Certaines personnes ont toujours été là pour moi. Je voudrais les remercier ici. Parce que dans la vie réelle, je ne sais pas comment le leur dire. Ils sont tout pour moi.

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  13. J'ai peur du noir, j'ai peur de pleins de choses et du coup j'ai peur de moi-même.

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  14. Je fais comme si tout allait bien, mais en réalité je fonds en larmes lorsque la porte se referme.

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  15. j'ai déjà attenté à ma vie .
    Deux fois

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  16. Plus ils me fuient, plus je les aime, je suis malheureuse.

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  17. Je ne crois en rien.
    Et surtout pas en vous.

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  18. Je suis mon propre Dieu, et généralement j'arrive à me pardonner à moi même, à résoudre mes problèmes tout seul, sans aide. Je déteste qu'on m'aide, car l'aide c'est l'attachement, et j'ai peur de m'attacher. En vérité, j'ai trop peur de souffrir. Pourtant j'aime aider les autres et je m'attache beaucoup à eux. Je suis contradictoire

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  19. J'aime ma vie et la vie en général !

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  20. J'aimerai aimer ma vie

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  21. Je n'ai pas confiance en moi, je ne m'aime pas, je dis que je vais bien, mais mon désespoir est bien trop grand.

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  22. Le pire c'est l'incompréhension.

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  23. J'en ai marre d'être simplement "l'ami" de certaines filles. De plus, je suis extrêmement maladroit quand je leur parle.

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  24. Je m'aime énormément, dans mon excentricité, dans ma différence singulière, et je dit FUCK. J'aime vraiment beaucoup ma vie, et la vie en général

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  25. Walk &don't look back -

    moi, ce que je réalise au fil du temps, c'est que j'm'oublie dans les autres.
    Putain que c'est bon de prendre soin de soi !

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  26. Je manque de confiance en moi, alors je doute, je doute de tout, je calcul tout.
    J'ai tout pour etre heureux mais je m'en prive, je me prive surement de beaucoup de plaisirs de la vie.
    Mais l'essentiel est là, j'ai la famille, j'ai les amis, alors je vais bien ne t'en fais pas.

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  27. mon chère tout puissant j'ai des problèmes sexuels de grande ampleur mon sexe est trop grand et je fait du mal à toute mes partenaires j'ai envoyé hier une amie à moi à l'hopitel apparemment c'est très grave pitié pardonne moi son père est venu me tabasser ce matin

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  28. J'ai fais une grossesse nerveuse.

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  29. Y a quelque chose qui va pas... J'me sens handicapé par mon visage. Parfois jusqu'à vouloir me l'arracher. J'aurai voulu être autre. J'aurai voulu qu'elle me dise qu'elle m'aime d'un amour inconditionnel : celui que je méritais.

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  30. Jésus ! Chuis soulée...

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  31. Merde, tout est toujours si compliqué.

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  32. Je viens d'écraser un moucherons sur mon écran.
    Ce petit être est mort uniquement par ma faute.

    En même temps c'est moi qui l'ai fait naitre.
    Par mes restes de lardons qui trainent depuis des semaines sur le coin de mon bureau.

    La question est donc ai-je le droit de vie et de mort, comme toi, sur les êtres que j'ai créé?

    Dieu est amour.
    Moi la sainte vierge.
    Et la croyance est Satan.

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  33. Je confesse, depuis peu je suis saisi de pulsion fratricide. J'ai passé ma dernière nuit couteau à la main, au dessus de cet enfoiré, mais je n'ai pu encore me résoudre agir. Est-ce que le canibalisme me fermera les portes du paradis ?

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  34. Un jour j'ai faillit déclencher un incendie... Je voulais voir comment le coton brûlait.

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  35. Je hais ce type... Pourquoi je tombe toujours sur des boulets ? Ou alors c'est moi le boulet : amicale en apparence et misanthrope dans la realite. Je suis double, j'vous j'aime mais vous me faites chier... Insociable sociabilite dites-vous ?

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  36. IL me manque terriblement, à chaque jour suffit sa peine. 

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  37. Je déteste Paris. Foncièrement. Pourtant je suis incapable de m'imaginer vivre ailleurs.

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  38. Au lieu de m'imaginer à genou sur le sol froid d'une église, avec comme seul compagnon mon imagination et quelques hommes en toge.

    je m'imagine confortablement vautré dans un divan moelleux, avec vous comme compagnie.

    La triste vérité est qu'en réalité je me confesse seule fasse à un clavier, et le publie sur internet, le rendant ainsi visible de tout un chacun.

    La confession est absurde.
    L'échange est vital.

    Ainsi soit-il.

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  39. Il faut parfois se mettre au vert pour continuer à voir la vie en rose...

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  40. Pardonnez-moi Dieu car j'ai pêché.

    Aujourd'hui j'ai menti à ma nièce.

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  41. Je vais faire l'amour à un inconnu ce soir. Je l'ai rencontré hier soir ou très tôt ce matin, je ne sais plus. Il m'a demandé de ramener un macdo... C'est surement un "vieux mec". Je suis une handicapée des relations amoureuses.

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  42. J'aime les garçons. Ou plutôt, j'aime un garçon.
    Personne ne le sait. Ni lui. Ni les autres.
    Et je suis moi-même un garçon. Un garçon qui aime les garçons. Ou plutôt, un garçon qui aime un garçon.

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  43. Je suis une sous-merde.

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  44. Je remercie ces cachets qui m'empêche de penser

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  45. Comme l'attente est longue est hasardeuse.
    Y'a quand même une question qui m'trotte dans la tête, pourquoi est ce qu'on répète nos erreurs?
    Nan mais sérieux, genre tu sais très bien qu'il ne faut absolument pas faire ce que t'es justement en train faire, tu le sais pertinemment, y'a même une grosse alarme rouge au dessus de toi! 
    Et pourtant tu fonces droit dans l'mur sans cramer le panneau "vous n'avez pas la priorité".
    Chaque instant redevient une attente. Pincement aux cotes incessant, la respiration même se coupe quand il se décide à vibrer. Et c'est finalement ces insoutenables sensation qui me font sentir vivante.

    J'abuse comme une grizlly, une deuxieme fois.

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  46. Je ne suis qu'un organe dans une chaîne , dans une fabrique d'histoire...

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  47. J'ai attendu toute la journée ... en vain.
    J'aime pas le sentiment d'impuissance qui m'envahis.
    Et ça m'saoule de devoir faire tous ces trucs qui 
    me font chier, alors qu'à l'interieur ... J'attends,
    je guette, je tourne en rond, incapable d'me 
    concentrer. 
    J'aime pas me sentir nul.
    Pourtant là, j'me sens définitivement naif!
    Je déteste ça ! 
    Putain de toi.

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  48. L'heure du commentaire n'est pas l'heure.
    hésite à jeter son portable à la poubelle, par la
    fenêtre, le bruler, peut être juste l'éteindre,...
    pour toujours?
    attente: 8am ->23h37.
    L'espoir est mort ce soir.
    Encore une fois.

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  49. 14am : debout debout debout debout soutien

    00pm : arrêtes de m'embêter

    13pm: j'étais fatigué, ca compte pas

    14am : fais pas ta relou
















    depuis rien!
    ... wtf?

    IL EST OU SON PROBLEME?

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  50. Je me suis laissée ambrigader dans cette histoire, maintenant j'en fais les frais. Je me soule a être aussi influençable.
    Oui toi là ! Avec tes yeux de merlan frit ! Ouai ! TU ME SOULE !
    Et puis pourquoi j'arrive pas à lui dire de fermer ça gueule ?? C'est de sa faute si je suis dans la merde maintenant... Tu peux garder tes lessons merci.

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  51. J'aime ma vie, je ne veux pas que demain elle flanche.

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  52. j'arrive pas à arrêter

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  53. J'ai trompé mon copain. Et ça m'a plu. J'en redemande. Mais l'amour est là, il accompagne le doute à chaque seconde. Ce qui me rassure ? C'est qu'ils s'entendent bien. Ils sont plusieurs : Amour, Doute, Amitié, Haine, Peur, Impatience. Tous on fait un pacte, heureusement.

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  54. J'ai fantasmé sur mon médecin.

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  55. La pharmacienne est exécrable... Elle me regarde et me parle avec mépris. La prochaine fois j'irais ailleurs demander cette foutue pillule du lendemain.

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  56. Je n'avance pas , parmi les tourmentes de mon esprit, je tourne en rond !
    Alors que d'autres y arrivent et moi niette , nada , rien ; c'est l'apoplexie , je fais des choses qui m'exaspère , qui n'emmerde !! Non il faut le dire ça m'emmerde...
    Donc je rentre la nuit, soûle, et je marche en pensant mais la journée tout disparaît ... Pfiouf un vide.

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  57. J'ai une vie de merde. Marre d'avoir l'impression d'etre creuse parce que sans relation amoureuse. Comment ça marche cette merde ??

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  58. Je ne l'interesse pas.

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  59. et voila je me suis encore trop daillé

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  60. Chuis pas heureuse. Ma playliste de dépressif tourne en boucle. Là, j'aimerai faire une sieste, rêver, et jamais me réveiller.
    je sais pas ce qui cloche chez moi.

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  61. J'aime mon copain. Mais putain, comme j'en ai marre.

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  62. J'crois que je suis enceinte.

    J'en sais rien en fait, j'ai juste un doute. D'abord il y a eu le retard, le rouge qui manque. Puis j'ai réfléchis et j'ai compris le risque.
    J'ai un peu peur, c'est un peu irréel, je m'en fous mais si c'est vrai, c'est con.
    Ce sera juste des démarches un peu chiantes en plus dans ma vie, c'est tout.
    Juste un rendez vous pas agréable pour avorter une erreur, une énorme erreur.
    Je me sens seule.

    Ou comment déshumaniser une vie qui pousse dans son ventre.

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  63. Je sais qu'il a voulu m'embrasser pour me dire au revoir, mais j'ai fais comme si de rien n'était.

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  64. J'ai pensé du mal de (presque) tout les gens qui ont écrit des commentaires.
    Bande de tarlouzes pleureuses!

    Mais en fait je suis plutôt fier de mon péché donc je le garde.

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  65. Je suis une salope, incapable de dire non à un garçon qui me plaie s'il veut coucher avec moi même si j'en ai pas spécialement envie.
    Je me répugne. Quelle est la solution ?

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  66. Dieu, me voici, moi, ici, me confessant, naïvement à toi.
    La vie. Je ne la respecte pas. A peine précieuse et nullement rare. Même si je laisse émaner une pensée contraire, très roublardement. De par mon air souriant et ma sympathique éloquence.
    Le 11 septembre j'ai secrètement rigolé lorsque les gens sautaient des tours.
    Je les trouvais stupides et inconscient, voir excessifs.

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  67. J’ai presque tué quelqu’un un jour. Uniquement pour le détrousser. Ce pauvre bigre en avait pour deux smic dans ses poches. Il mange peut être les pissenlits par la racine aujourd’hui, qu’importe… Il me faut mes privilèges.
    L’origines ? Ma misanthropie. Les lieux où grouillent par milliers hommes femmes et enfants m’exaspèrent. J’imagine parfois qu’ils sont d’énormes larves gesticulantes. Couleur capote blanche. Et c’est lorsque j’arrête mes divagations que je scrute leurs vêtements et leurs lectures. Non pas pour m’intéresser à eux, non. Mais pour plus aisément les étiqueter puis les critiquer.
    Les plus pitoyables sont sans doute ces blancs. Multipliant concours de snobisme. Que je gagne systématiquement, y participant à peine. Méprisant goulûment ces catho intégristes.
    Les noirs et les arabes…Leurs exotiques jérémiades ne valent guère mieux. Et ne parlons même pas des franchouillards débats de bistro de ces beaufs blancs.
    Les gens… Plus nous tergiversons ensemble, plus leur esprit me semble étriqué. Ils suintent la connerie ou la sagesse mal placée. Des pleurnichards. Il n’y a qu’a voir ici.
    C’est ainsi que je me déplace quasi exclusivement en taxi. Et y impose le Jazz au chauffeur. Cela me rappelle les années 50.

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  68. Les amis ? C’n’est qu’un mythe. Je les ai tous arnaqué ou perdu de vue. Toi qui manipules les masses tu dois comprendre…
    Les femmes, l’amour ? Si je ne reste pas insensible à leur croupe ou a leur jolie minois je ne les consommes plus. Je ne perd plus mon temps a jouir de ces fioritures. Je préfère me masturber. C’est meilleur. Je suis abonné à un site pornographique à 29.99$/mois. Je ne peux en effet me rabaisser a utiliser youporn. Que je ne trouve pas assez raffiné et même un peu vulgaire…
    Je m’impose cela dit, par hygiène, de visiter au moins trois escorts par an. Tu le sais sans doute Dieu, je collectionne le portrait de chacune d’elles. L’objectif étant de léguer ce florilège de créature peu farouche à mon petit fils. Collection peu recommandable de timbres, dangeureusements léchables.
    Le travail ? Je le déteste Dieu. C’est une façon de rapporter de l’argent quoi. Le contraire d’une passion. Qui elle a pour but dernier d’en gagner.
    Si je veux devenir richissime, tu le sais, ce n’est pas pour frimer, non. Uniquement pour vivre seul. Suffisamment millionnaire pour me pavaner dans mon domaine colossal. Style Xanadu. Et c’est dans cette 8ème merveille du monde que je reposerai enfin mon cerveau. Libre a lui de se confire lors de cette période pré-funèbre.
    Oui Dieu, je te suis reconnaissant de m’avoir fait zen, sans amour ni haine, hédoniste. Et plutôt pas mal physiquement, en plus d’être intelligent. Jouissant de la vie.

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  69. Ainsi au gré de mes siestes, je ferai récolter la confiture de cervelle qui me dégoulinera des oreilles, des narines et des yeux. Sollicitant mes domestiques formés à la préparation de cocktail. M’intéressant à leurs ennuis d’un air faussement concerné.
    Quant à la mort, je ne l’attend pas spécialement. Je suis soumis à ta volonté. Et même si je sais que tu m’apprécies, ne te déranges pas pour moi. Pour ma place au Paradis. Je n’en veux pas. Honnêtement je l’imagine comme le théâtre de « la petite maison dans la prairie » version nuage ton paradis. N’étant pas dévot, même faux, je n’accepterai pas les dix prières matinales que l’encourageant Charles Ingalls me conseillera de m’administrer chaque matin.
    Et je n’ai pas non plus envie d’être le sujet des commérages de vielles bigotes protestantes.
    Non, moi je veux aller en Enfer. Gigantesque partouze SM. Ne te vexes pas Dieu mais soutiens moi comme tu l’as toujours fait.
    Et c’est lorsque je mourrai qu’ils découvriront une lettre stipulant que je n souhaite pas être délesté de mes organes. Egoïste et radin. En bon fils de pute que je suis.

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  70. J'ai envie de sauter tout bel homme que je croise.

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  71. J'ai vendu un jeu qui n'était pas à moi.

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  72. J'ai secrètement envie de rater ma vie. Mais ça commence un peu trop à se voir...

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  73. Elle est morte.
    Chaque fois j'ai l'impression de la croiser à nouveau. Mais non, ce n'est pas une supercherie, elle est bien morte depuis deux ans. Quand cela cessera-t-il ?

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  74. Je l'aime mais elle ne m'aimera vraisemblablement plus jamais

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  75. je suis Batman, enfin je crois

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  76. J'ai fais croire à un mec que j'étais lesbienne pour qu'il me foute la paix. J'ai jamais autant reçu de compliments sur mon apparence.

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  77. Ô splendeur métaphysique. Divine antimatière (grise ?). Insensible cogito ergo sum. Qui n’a rien a faire de nous, humbles singes. De ces tsunamis qui nous ravagent sans arrêts. Je viens. En vain. Me confesser à toi. Le suicide. Action que tu ne peux concevoir ô-toi gigantesque âme sans corps, mais dont nous, sur cette saloperie de planète, nous envisageons depuis Rome. Cette ancestrale fuite en avant est pour certains une (non)réponse aux événements qui nous asticotent. Moi par exemple ! Le suicide ! Parlons-en ! Je ne suis absolument pas gêné par ce sujet ! Allons-y Bon Dieu !
    Dans approximativement sept heures j’aurai un oral linguistique d’une langue dont je n’ai jamais fait l’apprentissage. « Ah c’est du chinois ! » « C’est du chinois ça pour moi ! » Bien que beaucoup moins exotique, j’ai cette impression. Et moi, qu’adviendrerait-je ? Baragouinant vingt minutes du français métissé à un professeur éberlué par tant de médiocrité. Oui le suicide pourquoi pas. Ca me sauverait de cette tragédie qui m’attend. La sèche ultime ! Pistonné à vie. Le repos éternel !
    Puis j’étais pas le seul. Il y en avait des comme moi qui aspiraient à de la gloire ou juste à la moyenne. Certains, conscients de leurs tares se résigneraient. En serais-je ? Déprimés… Des déçus de la vie rien de plus. En résulte les dépressifs plus ou moins refoulés mais a tout jamais résignés. Il s'ajoute à ces loosers, les entêtés. Masochistes de l'extrême, conscients ou non d'être raté, mais persistants quoi qu'il advienne. Carences intellectuelles, manque de talent, autant de tracas qui nous pourrissent la vie ! Autant de soucis qui nous font nous jeter par dessus bord. Par dessus ce bateau de la vie, censé nous mener au crépuscule, le plus tard possible. Il nous en reste assez du kérosène pourtant ! Pour naviguer un demi siècle encore. Ah ! Eux ! Les suicidaires ils le dégustent le présent ! Comme on déguste un rat ou une ceinture bouillie, faute de mieux. Ils souffrent d'être "maintenant", de cette douleur insurmontable qui les grignote, pleurant a même le sol et pouvant aller jusqu'à t’implorer, TOI, par de multiples bigoteries. Un mal de mer atroce qui leur gangrène l'âme. A cela peut s'ajouter la peur du futur. De c'qu'on va y croiser sur ce foutu fleuve de la vie. Pas vraiment tranquille. Pour couronner le tout il y en a même à qui le passé les titille de regret ou de remord. Ceux la ils sont vernis ! Ceux la ils en peuvent plus de leur rafiot ! Ils voudraient le saborder ! La couler leur coque de noix ! Ouvrir les vannes a grands coups de scalpel ! Pour beaucoup -dont moi- ce sera les moqueries des plus désobligeants qui nous sauvent. Nous en crèverions une deuxième fois des qu'en-dira-t-on ! Au lieu de ça je me résigne a affronter ce vicelard de prof'! Peureux que la fameuse gloire à laquelle j'aspire soit brisée par cet homme de lettre tout puissant. Lui. Surtout plus que toi ô divin roi de la masturbation mentale. Puis j'allais quand même pas me foutre en l'air pour une épreuve d'étudiant ! Ce serait grotesque ! Pire qu'un chagrin d'amour typiquement "djeuns". Oui ce serait excessif... "Et les Somaliens t'y penses à eux !? Ils ont pas une vie plus pourrie ceux la !" Cet argument ultra-démagogique m'aidera sûrement a m'endormir paisiblement. Et c'est avec un peu de chance que je crèverais, sans m'en rendre compte, dans mon sommeil.

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  78. J'ai fais caca sur la table de jardin d'un inconnu. J'ai beaucoup ris et j'en ris encore

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  79. 5 fois que je me masturbe et j'ai toujours pas trouvé un sens à ma vie

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  80. Je fais semblant d'être forte mais en fait je ne le suis pas. Je fais semblant d'être entourée mais en fait je suis seule. Je fais semblant de m'en foutre mais en fait, ça me blesse. J'ai trop d'orgueil et ça tout le monde le sait.

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  81. Je suis incapable de jouir d'une pénétration.

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  82. Je suis un alcoolo fini. Toutes les nuits je bois du cognac. Je me défonce à l'aide de ce précieux nectar servant -à la base- a mieux digérer.

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  83. Eclairez-moi. Pourquoi dit-on d'une nana qui couche le premier soir qu'elle est une fille facile ou une salope, alors que du côté des garçons, tout le monde s'en fout - et même, ils s'en vantent : +1 !

    On est en 2011 ou non ?

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  84. Ces vermines ! Toutes ces vermines ! On ne me laissera donc jamais ! Ces larves continuent de se dandiner devant moi ! Comme pour mieux m'arnaquer ! me voler mon or ! Je les hais tous ! Je spécule sur leurs échecs ! Qu'ils crèvent tous ! Salauds d'autres !

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  85. Je suis tombé amoureux de mon plan cul.

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  86. J'aimerais me marier avec elle.

    Normalement, je ne suis pas du tout " mariage ". Mais là, j'aimerais être la plus belle, dans une robe que j'aurais fait moi, une robe Reine des Glaces. J'aimerais qu'elle soit la plus belle aussi, que personne dans la salle ne puisse nous égaler en beauté et en grâce. Je voudrais que ceux qui comptent pour moi soit dans la salle. Que sa famille à qui elle n'a pas encore dit qu'elle aimait les filles, soit là aussi. Qu'ils sourient. Qu'ils soient fiers d'elle, pour épouser une femme aussi belle que moi.

    Je voudrais qu'on leur montre notre amour, sa force.
    Je voudrais qu'on s'échange, nos voeux, notre amour, nos alliances.
    Et qu'on soit couronnées. Moi Reine des Glaces, et Elle, Dragon Roi.

    Je voudrais.

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